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SCPI en pleine propriété : fonctionnement, fiscalité et stratégie patrimoniale

SCPI en pleine propriété : fonctionnement, fiscalité et stratégie patrimoniale

Temps de lecture : 16 min

Investir en SCPI, c’est accéder à l’immobilier sans contrainte de gestion, tout en percevant des revenus réguliers. Mais au-delà du choix de la SCPI elle-même, une autre décision influence directement le rendement de votre investissement : celle du mode de détention des parts. Parmi les modalités d’investissement en SCPI, la pleine propriété est la forme de détention la plus courante, en raison de sa simplicité et de son accès direct aux revenus. En effet, elle permet de bénéficier à la fois de l’usufruit, c’est-à-dire du droit de percevoir les revenus locatifs, et de la nue-propriété, qui correspond au droit de disposer librement des parts, notamment de les transmettre ou de les céder. Cependant, elle entraîne une fiscalité qu’il est essentiel d’anticiper avec justesse. C’est pourquoi nous allons décrypter le fonctionnement de l’investissement SCPI en pleine propriété, ses avantages, son traitement fiscal et les différentes stratégies patrimoniales qu’elle permet de mettre en œuvre.

Qu’est-ce qu’une SCPI en pleine propriété ?

scpi pleine propriété

Définition et distinction avec le démembrement

Opter pour la pleine propriété d’une SCPI revient à devenir pleinement propriétaire des parts avec l’intégralité des droits qui y sont attachés. Cela signifie que vous percevez les revenus locatifs générés par les biens détenus, tout en conservant la capacité de vendre, transmettre ou réorganiser votre détention à tout moment. C’est la forme de détention la plus directe, celle qui s’applique automatiquement lorsqu’aucun montage particulier n’est prévu lors de la souscription.

Ce mode de détention se différencie du démembrement de propriété, dans lequel les droits sont répartis entre deux personnes distinctes. L’un perçoit les revenus, il s’agit de l’usufruitier. L’autre détient les parts en capital, sans en percevoir les loyers pendant une période donnée : c’est le nu-propriétaire. Cette séparation des droits peut répondre à des objectifs spécifiques, qu’ils soient fiscaux ou patrimoniaux, mais elle modifie en profondeur la logique de détention et de perception des revenus.

La pleine propriété est possible sur l’ensemble des types de SCPI : qu’il s’agisse de SCPI de rendement, de capitalisation ou de SCPI fiscales. Dans ce dernier cas, elle est même indispensable : pour bénéficier des avantages fiscaux liés à des dispositifs comme Malraux ou le déficit foncier, l’investisseur doit détenir les parts en pleine propriété. Le démembrement y est donc généralement exclu à la souscription.

SCPI en pleine propriété : précisions sur cette appellation

L’expression “SCPI en pleine propriété” est couramment utilisée, y compris dans les documents professionnels ou commerciaux. Pourtant, d’un point de vue juridique, ce sont bien les parts de SCPI qui sont détenues avec l’ensemble des droits associés, et non la SCPI elle-même. Il s’agit donc d’un raccourci de langage, toléré à l’usage, mais qu’il est important de comprendre pour bien appréhender la nature réelle de l’investissement.

En pratique, cette distinction ne remet pas en cause le fonctionnement de la SCPI ni les droits des investisseurs. Elle souligne simplement que la SCPI est une structure juridique indépendante, qui détient le patrimoine immobilier collectif. En tant qu’associé, vous n’êtes pas directement propriétaire des immeubles, mais de parts sociales qui représentent une quote-part de ce patrimoine. Détenir ces parts sans démembrement signifie alors bénéficier de l’ensemble des droits économiques et patrimoniaux attachés à votre statut d’associé.

Fonctionnement d’un investissement en SCPI en pleine propriété

Statut d’associé

La souscription s’effectue directement auprès de la société de gestion qui administre la SCPI ou via un distributeur agréé. À l’issue de l’opération, vous détenez des parts sociales, qui matérialisent votre quote-part dans le patrimoine collectif. Vous devenez alors éligible au versement des revenus, sous réserve d’un délai d’activation propre à ce type d’investissement.

Accès et perception des revenus

Ce délai, appelé délai de jouissance, correspond à la période pendant laquelle vos parts ne génèrent pas encore de revenus. Il est en moyenne compris entre trois et six mois, et s’applique à toutes les nouvelles souscriptions. Il permet à la SCPI d’investir efficacement les capitaux collectés, tout en garantissant une répartition équitable des loyers entre anciens et nouveaux associés.

Une fois ce délai écoulé, vous commencez à percevoir les revenus générés par le parc immobilier. La majorité des SCPI distribuent les loyers sur une base trimestrielle, mais certaines optent pour une fréquence mensuelle pour offrir une meilleure régularité de trésorerie, ou à l’inverse une fréquence semestrielle ou annuelle. Ces éléments sont définis dans la documentation réglementaire de chaque SCPI. Notons que le rythme de versement n’impacte en rien la rentabilité globale de l’investissement, il s’agit simplement d’une modalité de distribution, déterminée par chaque société de gestion.  

A noter : Les revenus versés par une SCPI sont souvent appelés dividendes, bien qu’ils ne soient pas assimilés aux dividendes d’actions sur le plan fiscal. Leur montant est proportionnel au nombre de parts détenues, et donc au montant investi en euros. Certains investisseurs choisissent d’augmenter progressivement leur allocation en SCPI pour lisser leurs revenus dans le temps, via notamment, des versements programmés.

Cession, transmission et gestion des parts

L’un des atouts fondamentaux de la pleine propriété réside dans la liberté de gestion qu’elle offre. Vous avez la possibilité de revendre tout ou partie de vos parts, de les transmettre à un tiers, ou de les intégrer dans une stratégie patrimoniale plus large, en fonction de vos objectifs. La cession s’effectue selon des modalités encadrées, qui diffèrent selon que la SCPI soit à capital fixe ou à capital variable et sur la base d’un prix de retrait fixé par la société de gestion. Dans les deux cas, la liquidité est plus structurée qu’en immobilier direct, mais elle reste dépendante du niveau de demande sur les parts.

En pleine propriété, vous êtes le seul décideur. Ce fonctionnement se distingue d’un démembrement de propriété, où les droits sont répartis entre usufruitier et nu-propriétaire. Dans ce cas, la cession des parts peut s’avérer plus complexe, notamment avant la fin de la période de démembrement, car elle implique soit une reconstitution préalable de la pleine propriété, soit une cession d’un droit démembré, généralement moins liquide. Cette autonomie complète de décision constitue un avantage réel, en particulier dans une logique de réorganisation patrimoniale ou de transmission anticipée.

Les avantages d’un investissement sans démembrement

Accéder à une source de revenus régulière et prévisible

Comme évoqué dans la partie dédiée au fonctionnement, la pleine propriété permet de percevoir directement les loyers générés par la SCPI, dès la fin du délai de jouissance. Ce revenu versé mensuellement, trimestriellement ou annuellement, constitue un complément de revenu appréciable, potentiellement stable et décorrélé des marchés financiers.

Dans une logique de diversification ou de préparation à la retraite, cette capacité à générer un flux régulier s’avère particulièrement pertinente. En effet, elle permet d’accompagner une baisse de revenus, de lisser les ressources dans le temps ou simplement de valoriser une épargne qui aurait peu de rendement sur des supports traditionnels.

Utiliser le levier du crédit pour construire votre patrimoine

La pleine propriété est le seul mode de détention qui ouvre la voie à une stratégie d’investissement progressive. L’acquisition peut être financée en grande partie par l’emprunt, tandis que les loyers perçus participent au remboursement du prêt. Ce mécanisme, connu sous le nom d’effet de levier, permet de développer votre patrimoine sans mobiliser immédiatement l’ensemble de vos fonds.

Ce levier s’accompagne d’un avantage fiscal important : les intérêts d’emprunt sont déductibles des revenus fonciers. Pour un investisseur fortement imposé, cette optimisation peut significativement améliorer le rendement net du placement, notamment au cours des premières années de remboursement. Au terme du crédit, vous disposez d’un actif immobilier diversifié, intégralement remboursé, avec un effort d’épargne lissé dans le temps.

Garder la main sur votre stratégie patrimoniale

Nous l’avons vu précédemment : en pleine propriété, vous disposez d’une liberté totale dans la gestion de vos parts. Cet avantage prend tout son sens lorsqu’il s’agit d’ajuster votre stratégie patrimoniale au fil du temps. Vous pouvez céder vos parts pour dégager des liquidités, les transmettre à vos proches, ou encore procéder à un démembrement volontaire dans une logique de transmission ou de réduction d’IFI.

De plus, si le patrimoine de la SCPI s’apprécie, la cession générera une plus-value qui viendra renforcer la valeur de vos parts sur le long terme.

La fiscalité des revenus issus de SCPI en pleine propriété

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Une imposition sur les revenus fonciers à anticiper

Les revenus générés par des parts de SCPI détenues en pleine propriété sont imposés comme des revenus fonciers. Ils s’ajoutent à vos autres sources de revenus et sont soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu selon votre tranche marginale d’imposition, ainsi qu’aux prélèvements sociaux, actuellement fixés à 17,2 %. Pour les contribuables fortement imposés, cette charge peut représenter plus de la moitié des loyers perçus. Un investisseur situé dans la tranche marginale d’imposition à 41 % supportera par exemple une imposition globale de 58,2 % sur les revenus issus de ses SCPI.

Cette fiscalité peut néanmoins être atténuée grâce au régime réel, qui permet de déduire certaines charges, notamment les intérêts d’emprunt en cas de financement à crédit (ainsi que les frais de dossier et assurance emprunteur). Ce mécanisme de déductibilité permet de réduire la base imposable et d’améliorer le rendement net. Il est particulièrement avantageux dans les premières années du prêt, lorsque la part des intérêts est encore importante.

Note : Le régime réel s’applique automatiquement aux revenus issus de parts de SCPI. Le régime micro-foncier, avec son abattement forfaitaire de 30 %, n’est accessible que si vous détenez à la fois des parts de SCPI et un bien immobilier loué en direct, hors dispositifs fiscaux spécifiques. La présence de ce bien en direct est indispensable pour justifier l’application de l’abattement, censé couvrir les charges locatives estimées.   

Une plus-value imposée, mais dégressive dans le temps

En cas de cession, les plus-values réalisées sur les parts de SCPI en pleine propriété sont soumises au régime des plus-values immobilières. La plus-value correspond à la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition des parts, diminuée des éventuels frais liés à l’investissement. 

L’imposition initiale s’élève à 36,2 %, répartie entre impôt sur le revenu (19 %) et prélèvements sociaux (17,2 %). Ce taux diminue toutefois avec la durée de détention, grâce à un système d’abattements progressifs à compter de la sixième année échue de détention. L’exonération totale d’impôt sur le revenu est acquise après 22 ans, celle des prélèvements sociaux après 30 ans.

Dans une optique de détention longue, cette mécanique permet donc de réduire significativement la fiscalité en cas de sortie. C’est un élément à intégrer dans votre stratégie, en particulier si vous envisagez de transmettre ou de réorganiser votre patrimoine à horizon long terme.

A noter : En cas de revente anticipée (avant six ans), aucun abattement ne s’applique sur la plus-value imposable. C’est une donnée à ne pas négliger si vous envisagez une cession à court terme : la fiscalité sera plus lourde, et la plus-value potentielle devra être analysée en net.

Une intégration à l’IFI selon la valeur de retrait

Les parts de SCPI détenues en pleine propriété sont pleinement intégrées dans l’assiette de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Leur valeur déclarée correspond à la valeur de retrait communiquée par la société de gestion au 1er janvier de l’année d’imposition. Pour les foyers dont le patrimoine immobilier net dépasse 1,3 million d’euros, cette intégration peut alourdir sensiblement la charge fiscale.

Dans certains cas, il peut être judicieux d’envisager un démembrement temporaire des parts, notamment en nue-propriété, pour sortir ces actifs de l’assiette taxable. Ce type d’arbitrage patrimonial dépend de votre situation globale, et doit être étudié avec attention si vous êtes concerné par l’IFI.

Trois leviers pour optimiser l’impact fiscal

La charge fiscale liée à la pleine propriété peut être optimisée de plusieurs façons. Le crédit immobilier constitue un premier levier simple et efficace, puisqu’il permet de déduire les intérêts d’emprunt des revenus fonciers. 

Autre possibilité : loger les parts de SCPI dans un contrat d’assurance vie. Dans ce cadre, les revenus générés ne sont pas fiscalisés tant qu’ils restent investis dans le contrat. En cas de retrait, ils bénéficient du régime de l’assurance vie, avec un abattement après huit ans de détention et, le cas échéant, une fiscalité allégée.

Enfin, certaines SCPI investies à l’étranger permettent de profiter des conventions fiscales internationales. En Allemagne ou aux Pays-Bas, par exemple, la fiscalité appliquée localement peut se substituer à l’imposition française, grâce aux conventions fiscales établies entre pays

Pleine propriété ou démembrement : quel choix pour quel objectif ?

Choisir le bon mode de détention selon les profils d’investisseurs

Le choix entre pleine propriété, nue-propriété et usufruit dépend directement de vos objectifs patrimoniaux, de votre fiscalité et de votre horizon d’investissement.

Optez pour une détention intégrale des parts si vous recherchez des revenus immédiats et souhaitez conserver une souplesse totale dans la gestion de vos parts. Cela convient également si vous envisagez un achat à crédit (l’acquisition à crédit n’étant possible que pour de la pleine propriété), ou si vous souhaitez renforcer vos actifs sur le long terme tout en gardant la possibilité de transmettre ou revendre librement.

La nue-propriété correspond davantage aux profils fortement fiscalisés, qui n’ont pas besoin de revenus à court terme, dans un objectif de préparation de la retraite ou pour une stratégie de transmission. L’absence de perception de loyers permet d’échapper à toute imposition pendant la durée du démembrement (souvent comprise entre 5 à 10 ans). En contrepartie, l’investisseur bénéficie d’une décote à l’achat (calculée selon la durée du démembrement ou “clé de répartition”), et récupère automatiquement l’usufruit des parts à l’issue de la période. 

L’usufruit, enfin, s’inscrit dans une logique de rendement à court terme. Il donne accès aux loyers sur une période déterminée, sans offrir de valorisation future à la revente. Il est principalement utilisé par les entreprises souhaitant placer leur trésorerie, ou par des particuliers faiblement imposés, qui cherchent à générer un revenu complémentaire immédiat.

Intégrer ce choix dans une stratégie patrimoniale globale

Ces trois formes de détention ne s’opposent pas. Elles peuvent même se compléter dans une stratégie patrimoniale bien construite. La pleine propriété, par exemple, peut servir de point d’entrée, avant d’évoluer vers un démembrement volontaire dans une logique de transmission.

Il est également possible de combiner des parts détenues en pleine propriété avec une souscription logée dans une assurance vie, afin de bénéficier d’un cadre fiscal différent selon les objectifs assignés à chaque enveloppe.

Dans tous les cas, le bon choix repose sur un équilibre entre le niveau de revenus souhaité, la fiscalité supportée, et la capacité à intégrer l’investissement dans une stratégie patrimoniale cohérente. C’est précisément à cette étape que l’accompagnement d’un expert prend tout son sens.

SCPI Epsilon 360 : investissez dans les smallcaps immobilières

Avec notre SCPI Epsilon 360, nous avons choisi de nous concentrer sur une classe d’actifs encore trop peu valorisée : les small caps immobilières. Notre SCPI à taille humaine, gérée activement, se positionne sur ces segments de marché souvent délaissés par les grands opérateurs. Ce choix nous permet de proposer à nos clients des véhicules plus transparents, plus sélectifs et plus réactifs.

Mais investir dans une SCPI ne se limite pas au choix du support. Le mode de détention, la structure juridique, l’enveloppe fiscale et l’horizon de placement sont autant de paramètres qui influencent la performance réelle de l’investissement. C’est pourquoi nous accompagnons nos clients à chaque étape de leur réflexion, en intégrant les dimensions fiscales, juridiques et patrimoniales propres à leur situation. Notre approche repose sur une conviction simple : la performance d’un investissement ne dépend pas uniquement du support choisi, mais de la manière dont il s’inscrit dans un projet global. C’est dans cette logique que nous sélectionnons, structurons et ajustons chaque recommandation. Pour vous faire une idée sur votre investissement, rendez-vous sur notre simulateur.

Un cadre d’investissement à inscrire dans une stratégie réfléchie

Investir en SCPI sans démembrement offre un cadre simple, lisible et accessible, qui permet de percevoir des revenus réguliers tout en gardant la maîtrise de son capital. Mais comme tout investissement immobilier, cette démarche suppose d’anticiper certains paramètres : fiscalité, horizon de placement, objectifs patrimoniaux ou encore évolution du marché. La pleine propriété n’est pas une solution universelle, mais un levier à manier avec discernement.

Chez Epsicap, nous mettons notre expertise à votre service pour intégrer ce type d’investissement dans une stratégie globale, adaptée à votre profil et à vos ambitions. Contactez-nous pour échanger avec un conseiller et découvrir si Epsilon 360 peut trouver sa place dans votre patrimoine.

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A considérer avant d’investir

Les informations présentées ici ne constituent pas un conseil en investissement. Investir en SCPI est un investissement long terme qui comporte des risques notamment de perte en capital et de liquidité.

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FAQ

Qu’est-ce qu’une SCPI ?
Une SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est une société qui collecte des fonds auprès d’investisseurs pour investir dans un portefeuille diversifié de biens immobiliers, tels que des bureaux, des commerces ou des logements. Les investisseurs achètent des parts de la SCPI et reçoivent des revenus locatifs proportionnels à leurs investissements. Les SCPI sont gérées par des sociétés de gestion qui s'occupent de l'acquisition, de la gestion locative, et de la revente des biens. Cela permet aux investisseurs de profiter des avantages de l'immobilier sans avoir à gérer directement des propriétés.
Pour aller plus loin : découvrez le fonctionnement d'une SCPI
Quels sont les risques d’un investissement en SCPI ?
Comme tout investissement immobilier, la SCPI comporte des risques :

  1. Risque de liquidité : Les parts de SCPI sont peu liquides et leur revente dépend de la présence d’une contrepartie. La société de gestion ne garantit pas la revente.

  2. Revenus non garantis : Les revenus peuvent fluctuer en fonction des loyers perçus et de leur règlement par les locataires.

  3. Risque de perte en capital : Le capital investi n'est pas garanti, car il dépend des variations du marché immobilier.


Malgré ces risques, la gestion professionnelle et la diversification de la SCPI aident à les limiter.
Puis-je investir via un contrat d’assurance-vie ?
Oui, la SCPI Epsilon 360° est accessible via un contrat d’assurance-vie, notamment grâce à notre partenariat avec Intential Patrimoine - Groupe APICIL. Ce partenariat permet aux investisseurs de souscrire à Epsilon 360° tout en bénéficiant des avantages fiscaux propres à l’assurance-vie. Cette solution est idéale pour diversifier votre patrimoine de manière optimisée. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter un conseiller ou à explorer les contrats proposés par nos partenaires.
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